L'image de soi première est celle de la pochette.

Un rapport constant à l'image: commandée à des artistes jusqu'à la sienne construite, re-dessinée. Une histoire de rapports qui approchent le "mythe".

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L'image de soi première est celle de la pochette.

Un rapport constant à l'image: commandée à des artistes jusqu'à la sienne construite, re-dessinée. Une histoire de rapports qui approchent le "mythe".

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L'image de soi première est celle de la pochette.

Un rapport constant à l'image: commandée à des artistes jusqu'à la sienne construite, re-dessinée. Une histoire de rapports qui approchent le "mythe".

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Toutes les pochettes crées par un artiste ont été rééditées ensuite (parfois rapidement après de moins bonnes ventes) avec le visage, la silhouette de Bernard Lavilliers.

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Les années 70 font passer le Lavilliers auteur à la Ferrat au brésilien et loubard. Avec succès. Un travail d'image par l'écrit précisées par
Michel KEMPER.

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Kemper écrit dans ce passionnant site qui apporte un regard complexe sur la chanson et sur son sujet stéphanois.

Cliquez pour aller plus loin.

Bon voyage.

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L'image de soi première est celle de la pochette.

Un rapport constant à l'image: commandée à des artistes jusqu'à la sienne construite, re-dessinée. Une histoire de rapports qui approchent le "mythe".

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Le mythe part pour le Brésil et le chanteur à textes et veste en velours devient le musclé Lavilliers. L'écriture mythique du héros et héraut expliquées par
Michel KEMPER.

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Une enquête passionnante qui a les qualités du sujet d'enquête: de la malice, de l'esprit et tant de lectures, de la sympathie et de la musicalité. Le mythe Lavilliers délié par Michel KEMPER. A lire comme un mythe et un album à feuilleter. Un artiste qui crée un personnage de fiction littéraire et populaire.

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