"Avec six danseurs-acrobates et sept musiciens complices au plateau, James Thierrée ouvre la boîte à outils, creuse en profondeur, densifie pour trouver de joyeuses pulsations qui magnifient cette œuvre poétique. Corps et instruments se transcendent, emportant les spectateurs dans leurs rêveries et folies, jusqu’à l’émerveillement. Tout cela sans masque, face au public. " Revenir à l'image: déchirer, coller, juxtaposer, graver". Senaud

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"À partir de la citation d’Oscar Wilde –Un masque raconte beaucoup plus qu’un visage et l’homme est peu lui-même lorsqu’il parle à la première personne ; donnez-lui un masque et il dira la vérité" la figure comme masque et révélateur, merveilleux sujet qui m'amène à multiplier les effigies et imprimer un tee shirt "Personne".. ". Senaud

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"Là je rencontre une grosse difficulté. Les magnifiques décors du spectacle sont peints par François Petrovich et participent, par disparition ou transparence de la danse elle-même. Impossible d'illustrer. La solution: inventer un alphabet corporel des danseurs de Groud. Une lecture sur grand format et en tout sens de leurs corps en adolescence. ". Senaud

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"Deux artistes très différentes réunies le même soir. Un soin au look, au graphisme qui me fait faire l'hypothèse d'amener ces univers vers la peinture. Et la récompense, rare pour les arts visuels, de de partager ces images avec l'artiste. ". Senaud

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"Une image de la parole. Contes, adolescents, la façon de travailler de Pommerat, tout appelait de mettre en scène cette parole. Mais je ne l'ai pas entendu ! J'ai fait l'hypothèse de modifier la gravitation: dessiner dans un autre sens que prévu. que cela joue avec tout ce qui gravite ". Senaud

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"Un spectacle sur un spectacle vu il y a longtemps et qui revit par les souvenirs et les anciens comédiens face à leurs reflets projetés. du pur théâtre visuel. J'en appelle au collage et à la disparition de l'image dans l'image". Senaud

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